Publiée le 29.05.2024

Pour la deuxième édition du Nouveau Printemps à Toulouse dédié, cette année, aux incertitudes d’un monde fantasmé, le parking INDIGO des Carmes accueille deux œuvres artistiques interrogeant les fantasmes et le rapport à la technologie autour de la 5G et de l’intelligence artificielle.

Rendre l’art accessible au plus grand nombre : c’est l’objectif d’INDIGO qui accueille deux nouvelles créations au sein du parking des Carmes, dans le cadre de cette nouvelle édition du festival de création contemporaine.

À cette occasion, l’artiste Mimosa Echard a transformé en œuvre d’art l’antenne 5G trônant au sommet du parking des Carmes. Lauréate du Prix Marcel Duchamp en 2022, Mimosa Echard interroge à travers ce poème visuel le rôle de l’antenne 5G dans la transmission des données parvenant jusqu’à l’œil humain.

Plus bas dans le parking, c’est Neïl Beloufa qui a investi l’espace pour y installer une œuvre interactive ludique et politique jouant avec les codes et fantasmes d’un monde connecté.

« Nous invitons l’art à traverser et à s’installer dans nos parkings. Ce sont des lieux de passage propices à la découverte et accessibles à toutes et à tous. », indique Patrice Carmaran, Directeur de Secteur Toulouse-Pyrénées-Garonne chez INDIGO.

Un projet pédagogique soutenu par la fondation INDIGO

Dans le cadre du Nouveau Printemps à Toulouse, la fondation INDIGO soutient également le projet de médiation culturelle « Les Promesses de Demain » permettant à des centaines de collégiens et lycéens issus de 21 classes de se mettre dans la peau d’artistes. Pendant plusieurs mois, les élèves ont travaillé avec les artistes Karelle Ménine et Pablo Valbuena à la réalisation d’œuvres interrogeant l’avenir, ses fantasmes et ses craintes. Ces créations seront exposées pendant le festival à la Cour Baragnon et publiées dans un livret spécial, disponible gratuitement à l’accueil du festival.

« La Fondation INDIGO soutient des projets d’intérêt général qui encouragent des initiatives visant à améliorer le vivre ensemble et la qualité de vie de chacun. Chaque projet soutenu est proposé par une collaboratrice ou un collaborateur du Groupe puis soumis au comité exécutif de la Fondation, avant d’être suivi sur le terrain par ce même collaborateur qui en devient le référent interne », explique Coline Chaumont, déléguée générale de la Fondation INDIGO.